Par David Nathan
Ce n’est certainement pas un hasard si la signature de St-Amour est « Au-delà du recrutement ». À travers cette formule tout en promesses, c’est la philosophie globale de l’entreprise qui est ainsi résumée. « Recruter un candidat exige évidemment de bien comprendre le marché de l’employeur et de bien prendre en considération ses attentes, mais c’est aussi pour nous, bien plus que ça ; c’est une relation de confiance à établir avec lui », explique Robert Favreau, Président de St-Amour.
Cette relation ne s’arrête pas à la fin du mandat. « Nous sommes un partenaire d’affaires à long terme, nous nous assurons de partager des informations et renseignements pertinents qui pourraient avoir un impact sur leur entreprise. Ces informations peuvent être des changements anticipés ou actuels du marché, le contexte d’emploi dans leur secteur d’activité ou toutes autres informations relatives à l’accès et disponibilité de candidats. Nous nous faisons un devoir de continuer les échanges avec notre client et ce, dans toutes leurs sphères d’intérêt ».
Dans ce contexte, St-Amour est fier d’offrir à ses partenaires un modèle d’affaires répondant efficacement à leurs besoins d’affaires actuels et que, par sa prédisposition à une culture d’innovation, nous sommes habilités à répondre aux besoins futurs de nos clients.
L’IMPORTANCE DE LA PHASE PRÉLIMINAIRE
Trouver la perle rare, LE candidat idéal qui va parfaitement répondre aux besoins d’un employeur n’est pas une mince affaire, un travail en amont doit être fait. Attacher un soin particulier à cette étape préliminaire, est une des forces de St-Amour. « Il est primordial de s’imprégner de la culture de l’entreprise avant d’aller à la chasse aux candidats, de bien comprendre la description du poste à pourvoir ; ça passe par une présence physique chez l’employeur, dit Fanie Noiseux, Directrice de division Biens de consommation, Ingrédients et Philanthropie. L’évaluation des critères ainsi que les besoins de nos clients sont indispensables ! ».
SAVOIR-FAIRE ET SAVOIR-ÊTRE
Le savoir-faire d’un candidat ne saurait se résumer à ses compétences professionnelles ou au diplôme qu’il a obtenu. Non seulement St-Amour étudie et analyse les dossiers des candidats minutieusement, mais ajoute à son analyse un paramètre d’une extrême importance : le savoir-être. « L’humain demeure toujours le premier point de contact, résume Robert Favreau. Le savoir-être d’un candidat, ce sont ses valeurs, mais c’est aussi la façon avec laquelle il va se comporter dans un travail en équipe, sa capacité à relever des défis, à s’adapter à de nouvelles tâches. C’est une valeur très importante car les employeurs ne cherchent plus des candidats statiques, mais au contraire qui font preuve d’une grande flexibilité ».
L’ART DE TROUVER DES CANDIDATS… QUI NE SONT PAS ACTIFS SUR LE MARCHÉ
Le métier de chasseur de tête est exigeant car il requiert pour lui, de satisfaire tant l’employeur que le candidat. L’objectif d’un chasseur de tête est de trouver pour son client l’étoile à qui donner un défi stimulant et évolutif sur son plan de carrière. On doit continuellement être à l’affût du marché et ainsi chasser des candidats qui ne sont pas en recherche. Ce qui fera la différence entre une firme de recrutement et une autre, c’est précisément sa capacité à aller dénicher des talents inactifs sur le marché. « La façon de travailler a évolué, aujourd’hui il est important de séduire les candidats, de leur « vendre » l’entreprise pour laquelle on les sollicite, explique Fanie Noiseux. On ne se contente pas de chercher les candidats à travers nos bases de données, il faut souvent aller faire des démarches auprès de certains qui ne sont pas à la recherche d’un emploi, qui sont déjà en place dans une entreprise. C’est là que l’art de la séduction prend tout son sens ».
DES EXPERTS DANS LEUR DOMAINE
Pour pouvoir répondre au mieux aux attentes de ses clients, St-Amour est formé de recruteurs qui ont tous développé une expertise dans un secteur d’activité ou types de poste précis. « Une expertise poussée du domaine concerné est présente au sein de toutes nos équipes, explique Robert Favreau. Tous nos recruteurs connaissent parfaitement le domaine dans lequel nos clients et partenaires ont des intérêts ».
L’INDUSTRIE ALIMENTAIRE EN PLEINE MUTATION
L’alimentation est un secteur très fort chez St-Amour. « 75 % des postes comblés au sein de notre département de Biens de consommation, se situent dans cette industrie, explique Fanie Noiseux. C’est un milieu qui a grandement évolué au cours des trois dernières années, de nombreuses multinationales ont fusionné, le marché est constamment en changement, beaucoup de postes sont maintenant transférés à Toronto, [ville où St-Amour possède un bureau], les PME ont le vent dans les voiles ; autant de paramètres à prendre en considération dans notre travail ».
SAVOIR ANTICIPER LES TENDANCES
Savoir s’adapter aux nouveautés, aux tendances et besoins de l’industrie demeurera toujours une grande force pour une entreprise et St-Amour en a bien conscience. Depuis 2016, la compagnie reçoit plusieurs demandes en ce qui concerne des postes de direction dans le e-commerce. « C’est un domaine qui n’est pas encore très développé au Québec, il a donc fallu que nous regardions du côté de l’Europe, beaucoup plus avancée en la matière, explique Fanie Noiseux. On a réussi à combler ces postes haut la main, justement parce qu’on a su s’adapter et évoluer dans le sens de la demande. Pour ça, il faut faire un travail de veille, rester attentif à ce qui se passe sur le marché, participer à des salons professionnels, se tenir informés, sans quoi, on est vite dépassé ».
Robert Favreau, Président chez St-Amour et Associés
Fanie Noiseux, Directrice de division – Biens de consommation, St-Amour & Associés