Oui et non, toutes les options sont possibles. On répond oui, si l’on pense à une année parsemée d’incertitudes, où les regards porteront notamment sur l’Europe, où il sera question d’un contexte économique peu engageant et d’une croissance mondiale plu tôt modeste. On répond non, surtout lorsque l’on regarde la façon dont l’année a débuté.
Par Joëlle Noreau, Économiste principale, Mouvement Desjardins
Dans les premiers mois de 2011, la planète scrutait l’Afrique du Nord et les soulèvements populaires qui ont amené les prix du pétrole et des céréales à s’emballer, alors que c’est plutôt l’Iran (…)