M. François Gendron, vice-premier ministre et ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ), a annoncé l’octroi d’une somme de plus de 2 millions de dollars pour la promotion et l’identification des aliments du Québec. Le Ministère orchestrera, en collaboration avec Aliments du Québec, la troisième phase de la campagne de promotion « Aliments du Québec : toujours le bon choix ! »
« Nous pouvons être fiers des producteurs, des pêcheurs et des transformateurs du Québec qui offrent des produits variés, frais et de grande qualité. Il faut leur donner toute la visibilité qu’ils méritent et c’est pourquoi nous les mettons en valeur de belle façon dans le cadre de notre campagne de promotion qui débute aujourd’hui », a souligné M. Gendron.
Le MAPAQ investit une somme de 1 050 000 $ dans cette campagne déployée à la télévision, à la radio et dans les médias imprimés jusqu’à la fin mars. Une aide financière de 992 500 $ est également octroyée à Aliments du Québec pour qu’il poursuive son mandat d’attestation et de mise en valeur des produits d’ici. Pour une deuxième année de suite, la comédienne Chantal Fontaine sera le porte-parole de la campagne.
Florent Gravel, le président d’Aliments du Québec, se réjouit par l’initiative et le soutien du Ministère et du succès de la précédente campagne : « Nos efforts donnent d’excellents résultats et il faut continuer à travailler ensemble afin que les produits du Québec deviennent les grandes vedettes de nos tables ! »
En ajoutant le soutien aux initiatives de promotion et de commercialisation des partenaires de l’industrie et la mise en œuvre du volet régional de la campagne, c’est plus de 3,5 millions de dollars qui seront investis par le MAPAQ au cours de la présente année, dans la promotion et l’identification des produits bioalimentaires québécois.
« La promotion des aliments du Québec sera une pierre d’assise de la politique de souveraineté alimentaire qui nous déposerons sous peu, conclut le ministre. Les Québécois font de plus en plus de place aux produits d’ici dans leur panier d’épicerie et il faut redoubler d’efforts pour que cette tendance se poursuive et s’accentue. Il faut aussi que chacun de nous exige des produits québécois pour que l’on puisse les retrouver sur les tablettes des épiceries mais aussi dans les restaurants.»